Le réchauffement climatique est au cœur d’un débat et les conclusions relayées à Copenhague sont alarmantes, car l’ampleur est importante.
Hier, à Copenhague, les experts ont déclaré : « nous avons peu de temps ». Le réchauffement climatique est devenu une affaire d’État, car il a pris une ampleur importante. Si ce dernier n’est pas contrôlé rapidement, il pourrait y avoir des dommages irréversibles et très graves. Pour les auteurs de ce rapport alarmant, il est impératif de limiter les effets du réchauffement climatique et cette action « pose la question de l’équité et de la justice ». Cette interrogation est nécessaire pour atteindre un développement durable tout en éradiquant la pauvreté.
Limiter le réchauffement climatique avec une politique immédiate
Le réchauffement climatique intéresse également la France, car Ségolène Royal (ministre de l’Écologie) et Laurent Fabius (ministre des Affaires étrangères) ont pris la révélation très au sérieux. Ils ont décidé comme un accord d’effectuer une mobilisation à la fois immédiate et universelle. Le secrétaire d’État américain, John Kerry estime que ceux qui ont tendance à ignorer ou à contester la Science « mettent en danger » les enfants ainsi que les petits enfants. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre (CO2, méthane, protoxyde d’azote) doivent absolument être réduites de 40 à 70 % d’ici 2050.
La question du réchauffement climatique est impérative
Par la suite, elles devront disparaître complètement soulignent les scientifiques. Les experts dénoncent le réchauffement climatique et insistent sur le fait que si rien n’est réalisé concrètement, les populations vulnérables des pays les moins développés seront en danger réel. Elles pourront difficilement faire face au réchauffement et aux impacts qui en résulteront. Le président du GIEG (expert climatique) révèle que « nous avons les moyens de limiter » le réchauffement climatique, mais « plus nous attendrons pour agir, plus ce sera coûteux ».
0 commentaires