Le sel et la puberté ne semblent pas faire bon ménage comme le montrent les résultats d’une nouvelle étude. Ce retard aurait aussi d’autres désagréments.
Le sel est mauvais pour la santé lorsqu’un excès est observé et il serait responsable d’une puberté qui tarde à se déclarer. Dans le but de déterminer la conformité des objectifs de l’OMS, une étude avait été réalisée dans le British Medical Journal. L’Organisation Mondiale de la Santé révèlait qu’il ne fallait pas dépasser 2000 mg de sodium par jour, ce qui représente 2 grammes par personne. De ce fait, la quantité n’est pas importante au vu de la consommation de certains êtres humains. Des données avaient donc été rassemblées en provenance de la France, du Mexique, du Royaume-Uni et des États-Unis.
Le sel retarderait la puberté qui favoriserait le stress
L’étude devait ensuite se pencher sur le respect des consignes de l’OMS et les chercheurs ont pu constater que la forte consommation était problématique. Dans cette nouvelle étude mise en place par les Américains à l’Université du Wyoming, il a été expliqué qu’un excès de sel affecte de manière considérable la santé reproductive selon le Parisien. De ce fait, les enfants qui sont touchés par un retard de la puberté pourraient consommer trop de sel au cours des repas. Cette situation n’est pas non plus anodine comme le révèlent les résultats de l’enquête.
Suivre les recommandations de l’OMS pour le sel
En effet, lorsque la puberté tarde à se déclarer, cela aurait tendance à jouer en défaveur de la fertilité et cela augmenterait les problèmes de comportements. Pour obtenir cette constatation, les chercheurs ont utilisé des rats qui ont pris des rations de sel trois voire quatre fois la dose recommandée. C’est de cette manière qu’ils ont pu observer un retard de puberté. De ce fait, il serait judicieux de suivre les recommandations de l’OMS et de ne pas saler à nouveau un plat qui a déjà été salé au préalable.
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