La France a décidé de proposer une semaine consacrée à la vaccination, car le taux de couverture n’est pas celui escompté. Alors que certaines maladies reviennent sur le devant de la scène, il est important de se focaliser sur ces vaccins.
Consulter le calendrier des vaccinations 2016
Récemment, nous apprenions que les vaccins BCG étaient en rupture de stock depuis plusieurs semaines en France. Le laboratoire Sanofi a été contraint de se tourner vers la Pologne pour se réapprovisionner. Cette dose a l’avantage de lutter contre la tuberculose, elle n’est pas obligatoire contrairement à certaines dévoilées dans le calendrier de vaccinations de l’INPES. Cet institut a décidé de partager quelques outils pour informer les patients et leur montrer que, parfois, des vaccins nécessitent des rappels.
Les vaccins sont essentiels pour protéger les autres
Il y a quelques années, une recrudescence de rougeole a été particulièrement néfaste à cause d’un taux trop faible. Le gouvernement souhaite ainsi contrer certaines habitudes avec un slogan très simple « Se vacciner, c’est se protéger et protéger les autres ». En effet, l’injection de ces doses a une importance capitale, car elle a la capacité de stopper la propagation d’une maladie comme la rougeole. Les scientifiques cherchent constamment de nouvelles doses pour d’autres virus comme Zika. Ce dernier s’approche dangereusement de la France à cause de l’augmentation des températures et du nombre de moustique tigre.
La méfiance de certains Français est en baisse
Par conséquent, les vaccins sont essentiels, mais la multiplication des polémiques a été néfaste. L’État à travers cette semaine espère réconcilier les Français avec la vaccination. Certains ont déjà fait un pas au cours de l’hiver avec, notamment, la grippe. Cette maladie avait engendré plusieurs décès l’année dernière à cause d’une molécule inefficace face à une source robuste. En 2016, l’épidémie a été apparemment moins importante, les Français ont donc été nombreux à se vacciner. Le ministère de la Santé se mobilise donc via un nouveau site internet baptisé Vaccination Info Service.
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