À Toulouse, une famille a vécu un véritable drame après le décès d’une fillette. Cette dernière selon la première version était morte étouffée à cause d’un jouet Kinder. Finalement, la justice n’a pas mis en cause Ferrero, la société qui détient cet œuf en chocolat doté d’une surprise.
Dans l’affaire de l’enfant décédée, Kinder n’est pas mis en cause
Le procureur a tranché dans cette affaire qui a vu le jour après la mort d’une fillette au début de l’année. Il a précisé qu’une enquête avait eu lieu et les conclusions ne permettent pas de mettre en cause Kinder et donc Ferrero. Il faut noter qu’une notice d’utilisation accompagne l’œuf-surprise enrobé de deux coques en chocolat. En effet, Kinder insiste sur le fait qu’un enfant de moins de 3 ans ne doit pas utiliser le jouet à l’intérieur de la coque jaune. Toutefois, la surveillance d’un adulte est conseillée pour un garçon ou une fillette plus âgée.
Les jouets Kinder sont interdits aux enfants de moins de 3 ans
L’affaire a commencé au début de l’année lorsqu’une petite fille a perdu la vie dans la nuit du 16 au 17 janvier. Quelques heures auparavant, elle se trouvait dans un salon et elle s’amusait avec un jouet trouvé dans les fameux œufs Kinder qui ont rythmé l’enfance de nombreuses personnes depuis des décennies. Au fil des années, les jouets ont évolué et ils sont même venus alimenter des collections qui aujourd’hui peuvent être visibles dans des bourses ou sur la toile. En ce qui concerne ce drame, la mère de famille avait constaté que son enfant était en train de s’étouffer.
Ferrero affirme que la sécurité est une priorité
Elle venait d’avaler la petite roue de ce jouet et la trachée était donc obstruée. Une autopsie avait été réalisée et les experts avaient précisé que le décès était survenu à cause d’une asphyxie mécanique. Un communiqué a été partagé par la société Ferrero qui détient la marque Kinder. Elle a insisté sur le fait que tout était mis en œuvre quotidiennement pour que la sécurité des consommateurs soit assurée.
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