Les vacances de la Toussaint devaient apporter du repos, sont-elles anxiogènes ? Les Français luttent avec leur humeur et la situation n’est clairement pas celle escomptée. S’ils pensaient que le contexte serait réglé rapidement, ce n’est malheureusement pas le cas. Notre quotidien est toujours rythmé par les masques, le coronavirus, la distanciation sociale, le couvre-feu et des restrictions plus importantes pourraient voir le jour.
Noël, les fêtes approchent et l’angoisse grimpe
Les vacances de la Toussaint ne se passent pas comme certains l’auraient voulu. En effet, Jean Castex a annoncé le couvre-feu pour de nombreuses villes notamment dans le nord et le sud de la France. Pour ces congés, c’est donc l’ouest qui s’offre une petite bouffée d’oxygène puisque la Normandie et la Bretagne sont clairement des zones prisées. En effet, les Français ont sans doute la volonté de fuir les zones très touchées par le coronavirus même si le gouvernement a bien sûr spécifié que tout le territoire était concerné.
- Comme le précise Le Télégramme, l’affluence est réelle en Bretagne.
- Certains internautes partagent d’ailleurs leur souhait de découvrir l’ouest pour les vacances de la Toussaint.
- Si vous regardez la dernière carte partagée par le Premier ministre, il est vrai que la zone est moins touchée.
Toutefois, avec l’annonce du couvre-feu, les rumeurs concernant un nouvel horaire pour ce dernier (17 ou 19 heures) et un éventuel confinement le 26 octobre alors que les villes annulent les unes à la suite des autres les marchés de Noël, la fin de l’année ne s’annonce pas joyeuse.
Le coronavirus sera là jusqu’en 2021, voire l’été
Emmanuel Macron n’avait pas de bonnes nouvelles à partager lors de son interview face à Gilles Boulleau et Anne Sophie Lapix. Il a précisé que, selon les scientifiques, le coronavirus sera au coeur de notre quotidien jusqu’à l’été 2021. Cela coïnciderait avec l’arrivée du vaccin pour le premier semestre. Toutefois, les Français se questionnent : le confinement sera-t-il validé ?
Le gouvernement ne semble pas exclure un seul scénario et le Premier ministre l’a rappelé, si les mesures n’ont pas d’effets positifs et si la situation ne s’améliore pas, des restrictions plus drastiques pourront être au rendez-vous. Croisons donc les doigts pour que la fin de l’année soit moins touchée par le Covid.
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