Depuis quelques jours, le froid s’est installé sur la France. L’humidité, la grisaille, les températures frôlant les zéro degré nous rappellent que l’hiver n’est plus très loin, avec lui arrive les inévitables virus, une baisse de forme, de vitalité. Faut-il alors pour y remédier envisager une cure de vitamines afin d’affronter en toute sérénité les premiers froids ?
Plus on avance dans l’âge, plus le corps a besoin de calcium pour se protéger, la vitamine D s’avère être indispensable. Des études démontrent que plus de 8 Français sur 10 présentent des carences. On estime qu’une exposition de 30 minutes par jour au soleil suffit à garantir une bonne réserve de vitamine D, mais lorsque les rayons du soleil se font rares, comment palier à ce manque ?
Pour résister au froid, le corps a besoin d’être en bonne santé
Avec les microbes hivernaux et la fatigue, l’organisme est soumis à rude épreuve durant cette saison. La vitamine C est un rempart contre les virus et autres bactéries, elle donne un coup de fouet. L’idéal est de la puiser dans l’alimentation quotidienne : le cresson, le kiwi, les agrumes, le choux vert, le poivron. La vitamine D est incontournable en hiver, grâce à elle le système immunitaire est plus vigoureux, quelques aliments en contiennent, le saumon, les sardines, le hareng, les jaunes d’œufs.
Une simple prise de sang peut mettre en évidence une carence. Le fer est également essentiel, afin d’éviter une panne, privilégiez la viande rouge, les légumineuses, les moules, les amandes. Il ne faut pas prendre des comprimés de fer de sa propre initiative, car en excès, ils peuvent être toxiques pour le foie, le cœur, le pancréas.
Les vitamines sont essentielles à notre organisme
Sans elles, le corps humain est faible, le système immunitaire est alors défaillant. Les vitamines des fruits, des légumes perdent plus de 39% des nutriments dans les trois heures qui suivent leur récolte, c’est pourquoi, il est important de les conserver au frais. Des chercheurs britanniques ont constaté qu’une déficience en vitamine D pourrait accroître le risque de développer un cancer de la vessie. Il est recommandé de consommer au moins deux fois par semaine du poisson gras, de profiter des rayons du soleil dès leur apparition.
C’est prouvé, un déficit peut avoir un effet négatif sur la densité osseuse, ce qui favorise l’ostéoporose.
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