Depuis le 20 octobre, un vent de changement souffle sur les péripéties du célèbre plombier de Nintendo. Dans ce récent chapitre, la fleur prend le relais du champignon, éveillant la curiosité des aficionados. « Sur quelle drogue se base Super Mario Bros. Wonder ? » interrogent-ils sur les forums, intrigués par l’esthétique éclatante dévoilée depuis juin 2023.
Un nouveau voyage psychédélique pour le héros de Nintendo
Il faut l’admettre, les images révèlent un univers vibrant, flirtant avec l’extraordinaire. Cette esthétique a incité à une recherche presque académique sur la substance mystérieuse propulsant Mario de son monde conventionnel à un cosmos où adversaires et éléments de décor s’animent sur une toile irisée. Les détectives du web, y compris ceux du HuffPost, ont élucidé ce mystère. Un voyage sous l’influence d’une fleur hallucinogène ?
L’indice crucial réside dans une fleur ingérée par Mario, déclenchant une métamorphose du décor. À première vue, une innocente corolle bleue, mais les experts des euphories chimiques y voient plus. Selon certains sur Reddit, cette fleur pourrait appartenir à l’espèce des ipomées, connues pour leur ergine, substance aux propriétés hallucinogènes, s’apparentant aux effets du LSD.
De profondes racines dans un imaginaire intoxicant
Interroger les consommateurs révèle des expériences similaires, où objets inanimés prennent vie et les couleurs déferlent, évoquant les effets de la psilocybine, célèbre psychotrope. Ces témoignages renforcent l’hypothèse d’une inspiration tirée de substances altérant la perception.
Revenons aux origines. En 2009, Shigeru Miyamoto, créateur de Mario, reconnaissait le rôle des champignons dans l’univers onirique de son personnage. Depuis 1985, Mario grandit grâce à eux, notamment l’Amanita muscaria, notoire pour ses propriétés hallucinogènes, bien que dangereuses
Loin d’être une première, cette aventure s’inscrit dans une tradition où Mario puise ses pouvoirs de substances. Mais n’oublions pas l’alternative : un jeu aux couleurs vives, inspiré de l’enfance et des rêves, reflet d’une innocence ludique plutôt que d’une incitation aux paradis artificiels.
Comment s’appelle le méchant dans Super Mario ?
Dans l’univers ludique de Super Mario, un nom émerge des ténèbres, synonyme de malveillance et de terreur : Bowser. Ce personnage infâme, souvent décrit comme une créature mi-dragon, mi-tortue, occupe le rôle du super-vilain, n’hésitant pas à plonger le Royaume Champignon dans le chaos. Connu pour ses tentatives répétées d’enlèvement de la princesse Peach, Bowser se distingue par sa détermination à asseoir sa domination sur le monde imaginaire créé par Nintendo.
Sa notoriété n’est pas simplement ancrée dans sa capacité à semer la désolation. Le charisme de Bowser réside dans sa complexité. Au-delà du méchant archétypal, il expose par moments une personnalité plus nuancée, voire vulnérable, notamment visible dans des séries dérivées où il joue des rôles moins antagonistes. Cette profondeur inattendue façonne un antagoniste mémorable, stimulant l’empathie malgré ses plans néfastes.
La conception de Bowser, inspirée par le folklore asiatique et la mythologie occidentale, en fait une figure emblématique. Son apparence imposante, sa crinière flamboyante, et ses attributs royaux contribuent à une esthétique terrifiante, renforçant son statut d’antihéros. Son influence dépasse le cadre des jeux, Bowser ayant investi la culture pop, des bandes dessinées aux films, symbolisant l’éternel conflit entre bien et mal.
L’évocation de Bowser n’est pas seulement celle d’un perturbateur dans l’univers de Mario ; elle révèle la richesse narrative que ces figures apportent à l’expérience vidéoludique. En défiant constamment le héros, il le magnifie, confirmant que sans adversité, il n’y a ni triomphe ni récit captivant.
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