Facebook a lancé Rooms, mais son application très proche de Room d’une société française est pointée du doigt.

Facebook Rooms

Facebook a développé Rooms qui ne doit pas être confondue avec Room. Les deux appellations sont assez proches et selon la société française à l’origine de la seconde, la société de Mark Zuckerberg se serait inspirée de leur conception. Le concept de Rooms disponible sur la boutique d’Apple est assez simple. L’entreprise de Mark Zuckerberg a décidé de remettre les tchats à l’ordre du jour puisque dans les années 90, les internautes avaient tendance à se retrouver dans des salles virtuelles pour discuter. Sur Facebook, le concept est presque similaire puisque les utilisateurs peuvent être plusieurs dans une seule discussion.

Facebook Rooms et le concept des Chatroom

Facebook Rooms propose toutefois à l’internaute de créer des Chatroom en choisissant un sujet. Les internautes peuvent ainsi discuter tranquillement sur un thème qui est attractif (fabriquer une maison, séduire, devenir cuisinier…). Toutes les possibilités sont offertes, le concept a déjà séduit de nombreux internautes qui multiplient les éloges sur la boutique d’Apple. Toutefois, Facebook n’aurait pas eu l’idée de développer Rooms, car une société française avait déjà inventé Room. Les deux entrepreneurs français accusent la société de Mark Zuckerberg. Frank David Cohen et Damien Rottemberg estiment que Facebook a copié leur Room.

Facebook Rooms serait une copie de Room

En parallèle, Room permet selon les créateurs de mettre en place de petits réseaux sociaux privés où 500 personnes peuvent se réunir. Le Chatroom prend ainsi un nom, un thème et les utilisateurs peuvent participer grâce à une invitation. Les créateurs qui avaient fait part de leur conception à FrenchWeb sont donc stupéfaits et ils ne comprennent pas comment les deux applications peuvent avoir une telle ressemblance. Facebook aurait donc plagié Room pour concevoir Rooms et pour les entrepreneurs français, les similitudes ne sont pas le fruit d’une coïncidence.