Des morceaux du groupe Queen qui s’est séparé après la mort fulgurante de son leader charismatique, Freddie Mercury, sont encore profondément ancrés dans nos mémoires mélomanes. Ce dernier aurait fêté ses 70 ans ce 5 septembre 2016. Un astéroïde portera désormais son nom, inscrivant sa mémoire, parmi celle infinie des étoiles.
Un cadeau posthume insolite pour une étoile de la chanson anglophone : quel est ce céleste présent en hommage incomparable à Freddie Mercury ?
Le 5 septembre 1991, Freddie Mercury (1946-1991), emporté par une pneumonie à 45 ans imputable au VIH, s’éteignait précocement, juste après avoir confié sa maladie. Il aurait dû fêter ses 70 ans cette année et poursuivre sans aucun doute une carrière de chanteur inégalable. Le guitariste du groupe Queen, Brian May, aux talents secrets mais réels d’astrophysicien, a annoncé officiellement lors d’un gala, en mémoire de Freddie Mercury, qu’un astéroïde de Jupiter, découvert récemment en 1991, porterait, proposition validée par l’Union Astronomique Internationale, le nom du chanteur aux vocalises mémorables. Freddie Mercury s’était (prémonition de sa part ?) comparé à « une étoile filante qui traversait le ciel » (une des paroles de « Don’t Stop Me Now »).
Un astéroïde portera le nom, sous l’impulsion de son ancien guitariste astrophysicien au sein de Queen, de Freddie Mercury qui aurait eu 70 ans
Selon le très sérieux quotidien britannique The Guardian, « Freddiemercury », de son nouveau nom commémoratif, est situé entre Mars et Jupiter et mesure près de trois kilomètres de largeur. L’astéroïde ne brille pas par ses propriétés intrinsèques de réverbération, explication la plus importante de sa découverte sur le tard. « Ce n’est qu’un point de lumière, mais c’est un point de lumière très spécial. Et peut-être qu’un jour, on pourra le visiter » explique Brian May dans un hommage sublime, au chanteur emblématique du groupe Queen (1970 à 1991), Freddie Mercury, dont la version de « We Are The Champions » a capella est à écouter sans plus tarder mais qui mérite largement que l’on s’y attarde sans modération.
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