Alors que Google semblait vouloir se détacher du secteur de la robotique, pourtant porteur, pourtant prometteur, en ayant notamment annoncé son divorce à venir, avec sa société des plus prestigieuses, dans ce créneau high-tech, qu’est Boston Dynamics, voilà que, comme du chapeau d’un magicien, à la baguette magique, osons-le dire numérique, un robot, marcheur hors pairs, sans curieusement aucun nom, vient tout juste d’éclore, fruit d’une de ses filiales japonaises, baptisée Schaft. Nous allons vous dévoiler les innovations de cet engin facétieux et ingénieux.
Ne vous fiez pas aux apparences : la bonhommie, à première vue, de ce robot, cache un engin génial et tout-terrain !
Le New Economy Summit 2016, qui s’est déroulé à Tokyo (Japon), a été une occasion de rêve pour Schaft, une start-up nippone à la pointe de l’innovation, en ce qui concerne la robotique, rachetée récemment par Google, et dont les chercheurs exercent, pour être plus précis, sous l’autorité bienveillante de Alphabet X (ex-Google X), de dévoiler le prototype réussi d’un tout nouvel androïde, dont la fonction principale, qui peut paraître dérisoire, pour ne pas l’avouer même presque désuète, est la suivante : celle de marcher, mais avec une adaptabilité à toute situation. Ce bipède, à l’allure pataude, cachant bien ses atouts, les a mis à jour, lors du NEST.
Voici la liste des qualités inhérentes à ce robot, au prototype réussi, mais non commercialisé, du moins pour l’instant !
A la lumière d’une vidéo de présentation très surprenante, le robot, composé de deux jambes et d’un bloc central, peut grimper des marches à sa guise, marcher sur tous les terrains et ce lors de toutes les saisons, se livrer à un jeu de contrebalancement, paraissant périlleux, mais dans lequel il excelle, avec un brio époustouflant. Il peut porter une charge, pouvant atteindre pas mois de 60 kilos, et même de se déplacer de façon latérale. Toute mise en vente de ce produit, est cependant exclue, du moins pour le moment, mais il se serait révélé beaucoup moins cher, à produire que les robots de Boston Dynamics, dont Google souhaite ardemment se séparer.
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