La journée internationale des droits des femmes 2015 est représentée par un Doodle spécifique, car Google a voulu stopper les inégalités.
La journée internationale des droits des femmes 2015 est célébrée le 8 mars et Google a souhaité présenter un Doodle spécifique. Généralement, cette date permet de diriger les projecteurs vers les problèmes rencontrés par les femmes dans le monde entier. Les inégalités sont au rendez-vous et elles sont référencées dans une multitude de domaines. Toutefois, la firme de Mountain View a conçu un Doodle spécifique où les femmes sont mises à l’honneur dans plusieurs secteurs. Il est ainsi possible de découvrir une adepte de la cuisine, une passionnée de l’astronomie ou encore une magistrate.
Un Doodle pour mettre en valeur les femmes
La journée internationale des droits des femmes 2015 est une date importante, car elle permet de montrer qu’elles ont autant de capacité que les hommes et elles ont l’opportunité d’opter pour des carrières importantes. Certaines femmes évoluent dans le monde du sport alors que d’autres se spécialisent dans l’informatique, la recherche et même la conquête de l’espace. Malgré cela, les inégalités subsistent et des femmes dénoncent cette pratique. Généralement, au sein d’une même société, la gent féminine est parfois contrainte de redoubler d’effort pour obtenir une certaine reconnaissance.
L’importance d’une journée internationale des droits des femmes
Les disparités entre les femmes et les hommes sont présentes dans le monde entier et dans tous les domaines. La journée internationale des droits des femmes 2015 est également une date primordiale pour évoquer l’irrespect et la souffrance que subissent de nombreuses personnes dans le monde. Violences, viols, agressions sexuelles… Toutes les femmes n’ont malheureusement pas les mêmes droits et dans certains pays, elles n’ont pas l’opportunité de parler librement. Cette journée du 8 mars est peut-être un peu banale, mais en réalité, elle permet au monde de ne pas oublier que les femmes sont parfois bafouées et condamnées au silence, mais il ne faut pas oublier que leur souffrance est quotidienne.
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