La publicité en ligne est généralement au centre de débats houleux et l’IAB a été contrainte d’avouer ses fautes. La stratégie mise en place n’a pas été la bonne et le revers de la médaille se paye très cher.
Sur les sites Internet, la publicité en ligne a envahi les écrans, car elle génère des revenus non négligeables pour les propriétaires qui accumulent de nombreux visiteurs. Sur YouTube, quelques secondes suffisent pour les créateurs de vidéos qui génèrent des millions de dollars. Certains se frottent les mains, mais d’autres enragent, car les méthodes employées jusqu’à maintenant ont eu un prix et il est très élevé. En effet, cela a conduit à la multiplication des bloqueurs de publicités et donc à la réduction parfois conséquente des revenus.
L’IAB revoit sa copie en matière de publicité en ligne à cause des bloqueurs
Finalement, la publicité en ligne s’est nui à elle-même à cause d’un fonctionnement qui a été usé. Le 15 octobre dernier, l’IAB a décidé de s’expliquer alors que les applications des bloqueurs ne cessent de croître pour le plus grand malheur des propriétaires de sites Internet. Depuis l’essor du Web, tout a été construit pour que les publicités s’adaptent parfaitement aux attentes des internautes, ce qui aurait ainsi créé une surveillance. C’est cette dernière qui a causé un renversement de la situation et les clients ont partagé à maintes reprises leur colère.
Une certification lancée pour l’IAB dans le but de contrer la publicité en ligne invasive
Dans son explication, l’IAB ne passe pas par quatre chemins pour annoncer qu’ils se sont trompés dans l’établissement des stratégies. La course aux profits n’a donc pas eu de points positifs, car beaucoup d’euros ont été perdus en chemin à cause des technologies. L’objectif consiste désormais à reconquérir le milieu en générant des revenus sans pour autant entacher la patience des internautes qui sont les points centraux du système. L’ensemble devrait être revu et corrigé avec notamment une certification. Celle-ci sera attribuée lorsque la publicité en ligne sera soft et qu’elle ne nuira pas aux consommateurs.
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