Le stress au travail est sans doute l’émotion la plus négative qu’un salarié ou un employeur peut ressentir. Elle pèse sur le moral et elle a aussi la capacité de réduire son espérance de vie de 33 ans et cela à cause des désagréments occasionnés.
Au travail, le stress peut être généré par de multiples situations, mais cette étude a montré que ce sont les licenciements qui pèsent davantage sur le moral. La peur de se retrouver du jour au lendemain sans travail alors que la situation financière est basse et la France frappée par la crise entache la santé des travailleurs. Par conséquent, il a été prouvé qu’il y a des différences entre les groupes sociaux et l’espérance de vie peut ainsi être réduire de 10 à 38 % selon les postes.
Le stress touche surtout les personnes hispaniques et noires
Le stress est nocif, car il est une cause de mortalité. Il a tendance à toucher davantage la population qui possède un niveau d’éducation plus faible et leur espérance de vie est donc sérieusement grignotée. Les chercheurs ont ainsi pu découvrir que les Hispaniques ainsi que les noirs se retrouvent au sein d’une société à des postes qui génèrent une quantité non négligeable de stress qui est susceptible d’avoir un impact sur les maladies cardiovasculaires par exemple.
Un stress au travail capable d’ôter 33 années d’espérance de vie
Les personnes peuvent aussi souffrir d’un burn-out qui se traduit par une fatigue intense générée par un quotidien éreintant et un stress permanent. L’enquête publiée dans Health Affairs montre que les pathologies peuvent se succéder et faire ainsi reculer l’espérance de vie. Cette dernière n’est pas diminuée d’une poignée d’années, car le stress peut pendre 33 ans d’une vie. Le résultat est donc consternant notamment lorsque l’on sait que la société est de plus en plus stressante et que de nombreux problèmes peuvent peser sur le moral.
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