Le préservatif chez les étudiants n’est pas une priorité pour 1/3 d’entre eux. Cette statistique est glaciale notamment lorsque l’on évoque le Sida.
Le préservatif est à l’heure actuelle le seul moyen de se protéger pendant les rapports sexuels des maladies comme le Sida qui continue de dévaster la population. Même si les traitements se sont améliorés, le virus reste mortel et il n’existe pas de vaccin. Les experts de la santé sont donc très inquiets, car les étudiants excluent la capote et auraient tendance à oublier que des maladies très graves sont transmissibles sans protection. C’est donc une méthode qui permet de mettre sa vie et celle des autres en danger.
Une méconnaissance du préservatif pour les étudiants
Une étude a été réalisée par Harris Interactive et elle met en avant des statistiques qui font froid dans le dos. En effet, un tiers des étudiants n’utilise pas pour diverses raisons des préservatifs. L’excuse qui revient sans cesse concerne les sensations, car les capotes auraient tendance à les diminuer. Il faut toutefois regarder les priorités : faut-il diminuer les sensations et être protégés ? Chez les jeunes (filles et garçons), une méconnaissance peut s’avérer extrêmement dangereuse, car ils sont nombreux à ne pas savoir que le sida peut être transmis par le sexe oral.
Pas de préservatifs pour 1/3 des étudiants à cause des sensations
De ce fait, les étudiants misent sur la confiance lorsqu’ils excluent les préservatifs. C’est un risque qui peut coûter très cher, car selon la même étude, ils sont également un tiers à ne pas réaliser un dépistage lorsque leur partenaire change. Ces jeunes ont donc tendance à réduire leur vigilance, ce qui s’avère être une porte d’entrée pour le Sida. En parallèle, il faut noter que les capotes protègent les individus des maladies, mais c’est également un moyen contraceptif qui permet de ne pas tomber enceinte.
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