Ce nouveau portail  aux formes d’un village, c’est plus de soixante auteurs dans le domaine des addictions qui l’ont mis au point. Les chiffres qui concernent les addictions en France sont alarmants, plus de 50% de la dépendance et plus de 20% de la mortalité, chaque année, on recense dans notre pays plus de 800.000 hospitalisations directement liées à ce problème de santé publique.

Combattre les addictions en apportant de l’aide

La prévention des addictions reste un enjeu crucial et capital en France et c’est pour cela que ce nouveau portail Addict Aide ouvre ses portes aujourd’hui afin de venir en aide à toutes les personnes en quête d’une réponse, d’un soutien. Des médecins, des associations, des malades, des unités de recherche, des structures de soins et d’accompagnement se sont réunies pour former un site coordonné également par le professeur Michel Reynaud, psychiatre, addictologue et exerçant à l’hôpital Paul-Brousse à Villejuif.

Tous les outils sont dévoilés pour lutter contre ce fléau

Le site se présente sous la forme d’un village très sympathique, accueillant, on peut y circuler via différentes maisons et l’on peut trouver rapidement l’aide dont on a besoin. Toute personne qui décide trouver via le site, une réponse à un problème précis pourra lancer sa recherche en cliquant sur la maison de son choix, onze sont disponibles. Des questionnaires pourront renseigner l’utilisateur sur son degré de dépendance, mais bien d’autres outils existent, les différentes manifestations, les médecins, les offres d’emploi, les formations et des vidéos renseignent sur toutes les addictions.

Addict Aide, c’est une très bonne idée

Quand on arrive sur le site Addict Aide, on a l’impression de se promener sur un plateau de jeu et selon ses besoins, ses demandes, les onze maisons présentes attendent l’utilisateur, c’est ludique, clair, accessible et chacun peut y trouver une réponse, un soutien, une aide, mieux comprendre ses addictions et les évaluer. Ce village virtuel rassemble plus de onze maisons, des familles, des jeunes, des pouvoirs publics, de la presse, des professionnels de santé. C’est une vraie bonne idée d’avoir créé ce parcours de soin intégral, les patients, mais aussi les parents, l’entourage, les chercheurs, les médecins, les journalistes pourront trouver la bonne réponse.