La vaccination et la scolarité ne semblent avoir rien en commun et pourtant, l’un ne pourra pas aller sans l’autre selon la ministre. Les parents se lancent donc dans une guerre sans merci contre le gouvernement qui souhaite prôner les avantages d’une telle protection.
Difficile d’envisager une scolarité sans cette vaccination
Aujourd’hui, il n’est pas contraignant d’envisager des études pour votre enfant. Certains parents se penchent déjà sur le cursus à programmer pour une prepa iep puisque des familles souhaitent maîtriser de A à Z toutes les contraintes. De ce fait, les élèves sont formés dès le plus jeune âge pour qu’ils puissent s’inscrire plus tard dans une grande école prestigieuse qu’elle soit installée à Paris ou en Provence. Dans tous les cas, l’objectif consiste à optimiser les connaissances, mais cela pourrait être chamboulé par quelques désagréments à cause de la vaccination. Selon la ministre de la Santé, les parents ne pourront pas envisager une inscription si leur enfant n’a pas été protégé contre certaines maladies.
Le monde scolaire ferme ses portes aux enfants non vaccinés
Le débat est donc relancé, mais certains parents sont clairement réfractaires à l’idée de se lancer dans un tel ultimatum. Toutefois, s’ils ne comblent pas les attentes du gouvernement, il sera complexe, voire impossible de trouver une école susceptible d’accepter votre tête blonde. Il y a quelques semaines, le décès d’une adolescente se retrouvait au cœur de la polémique à cause d’un cas de rougeole en Provence Alpes Côte d’Azur. Les parents sont confrontés à divers scandales qui ont entaché sur le long terme leur volonté de laisser leur enfant se faire vacciner, mais, en choisissant cette voie, il sera impossible de jouir d’une inscription dans une école. Par conséquent, cette classe prepa iep qui avait été envisagée pour les années à venir sera mise de côté si la vaccination n’est pas au rendez-vous, car il sera impossible pour les enfants de mettre un pied dans le monde scolaire.
Une sanction difficile à avaler pour les parents récalcitrants
Agnès Buzyn a fait cette déclaration au Figaro le 22 Octobre dernier, mais elle souhaite rassurer tout de même les parents. Aujourd’hui, huit enfants sur dix sont vaccinés, elle voudrait passer à neuf sur dix dans les prochains mois, d’où cette réforme, car la sanction classique ne portera jamais ses fruits.
C’est obligatoire, donc vos enfants ne rentreront pas à l’école ou en crèche s’ils ne sont pas vaccinés. C’est une sanction suffisante.
Dans ce cas de figure, difficile de ne pas succomber à cet ultimatum, car comment inscrire un enfant en maternelle ou en primaire, voire au collège s’il n’a pas été vacciné ?
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