L’affaire concernant Allison Benitez, Marie sa mère et Francisco son père est toujours aussi mystérieuse, mais un rebondissement a été observé.
[media-credit name= »Facebook » align= »alignnone » width= »450″][/media-credit]Alors que des révélations ont été faites récemment sur Francisco Benitez et notamment ses excès de colère, nous apprenons grâce à l’Indépendant que l’affaire concernant le décès de Marie Josée et Allison Benitez a connu un certain rebondissement. Pour rappel, l’enquête avait démarré il y a près de 10 mois le 14 juillet dernier lorsque la mère et la fille disparaissaient de Perpignan. Après le suicide de Francisco Benitez, des fouilles ont été organisées durant l’été 2013 pour tenter de retrouver les deux femmes ou du moins leur corps. Le silence a ensuite enveloppé cette enquête, mais la famille attend toujours des réponses.
Des fouilles pour retrouver Marie et Allison Benitez
La sœur de Marie Josée Benitez, Edwige Barbet estime qu’il « ne faut pas les oublier. On ne sait rien. Moi, je suis sûre que quelqu’un sait ou a vu, mais ne veut pas parler ». L’affaire reste mystérieuse, car il n’y a pas vraiment de certitudes, les enquêteurs soupçonnent Francisco Benitez d’avoir tué accidentellement les deux femmes puis d’avoir dissimulé les deux corps. Un rebondissement est toutefois observé dans cette affaire, car de nouvelles fouilles devraient être organisées d’ici l’été 2014.
Des cris entendus le 14 juillet
Lors de ces nouvelles investigations, les cuves de la station d’épuration devraient être vidées. Selon le journal, cette manœuvre qui s’avère être assez complexe à mettre en place devrait être réalisée avant l’été. Cet endroit n’est pas anodin, car Francisco Benitez a été repéré à cet endroit à plusieurs reprises et à des heures qualifiées d’atypiques. Ce rebondissement pourrait peut-être permettre à la police d’en apprendre davantage sur la disparition de Marie Josée et Allison Benitez. Pour Edwige Barbet, cette situation est très difficile, mais elle précise qu’il y a le mystère de la voisine. Cette dernière « introuvable a dit que le 14 juillet entre 11 heures et midi, elle avait entendu crier ».