À l’occasion de la bénédiction de Noël, le pape François a dénoncé l’Etat Islamique, mais il ne l’a pas nommé réellement.

Pape François

Pour le 25 décembre 2014, le pape François a dénoncé « la persécution brutale » des djihadistes en Irak, en Syrie et dans les autres pays du monde. Il a aussi déploré les violences faites aux enfants dans ces contrées en guerre. Il était très ému et indigné, mais il a célébré la fête de Noël avec 1.2 milliard de catholiques sans pour autant oublier ceux qui souffrent. « Nos frères et sœurs d’Irak et de Syrie, depuis trop de temps, souffrent des effets des conflits en cours ».

Le pape a une pensée pour les 130 enfants décédés

Le pape François a également précisé selon La Montagne que « ceux qui appartiennent à d’autres groupes ethniques et religieux subissent une persécution brutale ». Il fait ainsi référence aux dernières actualités concernant la décapitation de plusieurs otages sans pour autant nommer l’Etat Islamique. Le pape a souhaité « le réconfort aux familles des enfants tués au Pakistan la semaine dernière ». En effet, 130 écoliers ont trouvé la mort à Peshawar à cause d’un commando terroriste. C’est le second Noël du pape François et il vient de fêter ses 78 ans. Depuis qu’il est arrivé à Rome, il est devenu très populaire.

Le pape François est très apprécié même par les non-croyants

Même les non-croyants voient en lui un pape ouvert. Ce dernier en a profité pendant son discours de lancer un second message : « trop d’enfants exploités dans le monde, trop d’abus sous nos propres yeux et avec notre silence complice ». Le souverain pontife a été virulent en notifiant aussi des enfants massacrés à cause des bombardements notamment là où le fils de Dieu a vu le jour. Ce pape révolutionnaire a su conquérir les croyants et les non-croyants. Il soulève les foules à la façon d’une célébrité tout en refusant l’argent. Il a même réformé les finances du Vatican, ce qui a été apprécié au vu de la crise.

Que l’on croie ou non en Dieu, l’Église catholique a repris de la vigueur grâce au pape François qui se prénomme Jorge Bergoglio.