Les campagnes de l’association combative PETA (Pour une Ethique dans le Traitement des Animaux) ne sont jamais en panne d’idées et leur ambassadrice, au goût du jour, est l’actrice franco-américaine. Arielle Dombasle, qui ose le nu, loin d’être défendu (tout comme la pomme qu’elle nous invite à croquer, et qui symbolise les bienfaits des produits naturels, tels que les légumes et fruits, épargnant d’atroces souffrances aux animaux, destinés à la consommation), et pour sensibiliser à la cause végétarienne, dans une affiche, rendue publique, ce 29 septembre.
Le témoignage précieux de Arielle Dombasle, nouvelle ambassadrice, et végétarienne convaincue et convaincante, depuis ses 20 ans
Arielle Dombasle, végétarienne depuis l’âge de 20 ans, joue en tenue d’Ève avec le fruit défendu, qui donne d’ailleurs son nom à la campagne. « Il n’y a pas de fruit défendu » sont ainsi les mots mis en exergue et servant de slogan, excellemment bien tourné, figurant sur l’affiche. En plus de la dimension visuelle, de cette dernière, d’une sensualité raffinée, émanant d’une star, âgée de 58 ans, et sur laquelle l’empreinte du temps n’a pas altéré la beauté, Arielle Domsbale est porteuse d’un message, épousant la noble cause du végétarisme, pour un éveil à la sensibilité animalière.
L’association PETA n’est pas adepte de la langue de bois et emploie des termes et statistiques effarants pour réveiller nos consciences endormies
Pour citer la campagne militante, mise en ligne sur le site petafrance.com, les chiffres et les affres font peur : « Rien qu’en France, l’industrie de la viande tue des centaines de millions d’animaux chaque année. Les mutilations à vif, le confinement extrême, la puanteur suffocante et la privation de contacts sociaux sont généralisés. Puis vient l’abattage, et comme le dit Paul McCartney, « Tout le monde serait végétarien si les abattoirs avaient des murs de verre ». » L’ex-Beatles, à la brillante carrière solo, se sent comme chacun, à son échelle personnelle, concerné.
La mine d’or aux pépites végétariennes à exploiter est d’une richesse inestimable : misons sur la consommation au degré zéro de la souffrance animale
Arielle Dombasle nous invite, avec forte conviction, a sacrifier nous penchants carnivores, et à succomber à la tentation, bien entendu de la biblique pomme, mais à puiser aussi dans un vivier immense d’aliments végétariens (la tendance dite « vegan » a une côte d’amour de plus en plus élevée), qui sont légion. Un « Guide du vegan en herbe » est par ailleurs disponible en remplissant un simple formulaire de demande sur le site petafrance.com. Le bénéfice est triple : épargner les animaux, bénéficier à votre santé et économiser la Terre. Gageons que cela porte ses fruits.
Quels sont les meilleurs films d’Arielle Dombasle ?
Arielle Dombasle a eu une carrière cinématographique diversifiée, s’étendant sur plusieurs décennies. Voici quelques-uns de ses films les plus notables :
- « Pauline à la plage » (1983) : Dans ce film réalisé par Éric Rohmer, Arielle Dombasle incarne le personnage de Marion, une femme à la recherche de l’amour. Ce film fait partie des « Comédies et proverbes », une série de six films réalisés par Rohmer dans les années 80.
- « Un indien dans la ville » (1994) : Dans cette comédie populaire française, elle joue le rôle de Charlotte, l’épouse de Stéphane, joué par Thierry Lhermitte.
- « L’Année des méduses » (1984) : Ce film dramatique, réalisé par Christopher Frank, met en vedette Arielle Dombasle dans le rôle de Romaine, une jeune femme qui passe des vacances estivales à Saint-Tropez.
- « Je m’appelle Elisabeth » (2006) : Dans ce film dramatique réalisé par Jean-Pierre Améris, Arielle Dombasle incarne la mère du personnage principal, une jeune fille de dix ans nommée Élisabeth.
- « Le Grand Meaulnes » (2006) : Dans cette adaptation du roman classique d’Alain-Fournier, Arielle Dombasle joue le rôle de Mme Seurel.
Ces films mettent en lumière la polyvalence d’Arielle Dombasle en tant qu’actrice et son aptitude à jouer dans des genres cinématographiques variés.
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