Voici un fait divers, de type alimentaire, dégoûtant au possible. Barbara Evelyn Marie, une jeune maman résidant au sein de l’État de New York (États-Unis), a consommé presque entièrement une bouteille d’un jus à la mode : l’eau de coco que l’on confond encore à tort avec le lait de coco. Elle n’a tiré aucun bénéfice (nous parlons bien sûr de son capital santé). Bien au contraire, elle a fait une effroyable découverte, hélas beaucoup trop tardivement, au fond du récipient, source la plus probable de tous ses déboires désagréables, sur le plan digestif, pendant plusieurs jours.
L’effet dégoût et l’effet viral se sont mêlés chez des internautes curieux mais aussi compatissants vis-à-vis de la jeune américaine victime d’une eau de coco à l’indésirable locataire
Amoindrie par le contenu indigeste du récipient, Barbara Evelyn Marie a été la proie des principaux symptômes suivants : des vomissements et de la diarrhée, véritable chemin de croix, durant plusieurs jours. Ses maux auraient été, de toute évidence, provoqués par cette chose horrifique, s’apparentant à une « moule » et gisant, sournois poison, au fond de sa bouteille d’eau de coco. L’historique des faits remonte au 26 avril de l’année en cours. Notre victime intoxiquée (elle a contacté un centre anti-poison) a fait part de son étrange découverte au travers de plusieurs posts Facebook et ces derniers ont rapidement eu un effet viral, ce qui n’a manqué d’alerter les médias, américains et étrangers, friands de ce qui est pourvoyeur d’émotions car leurs lecteurs le sont tout autant. C’est un coup dur à encaisser pour l’image écornée de la marque « Vita Coco ».
La jeune femme entend être revancharde vis-à-vis de la marque incriminée « Vita Coco » avec un triple appui sollicité avec pugnacité : un avocat, les médias et le Ministère de la Santé
Les spéculations sont légion concernant ce qui se trouvait, surprise impensable en tous les cas, au fond du récipient, même si ce serait probablement, un résidu organique. Barbara Evelyn a hélas réalisé beaucoup trop tardivement qu’un intrus était présent dans son jus. Seulement sa paille l’a mise sur le qui-vive puisqu’elle a porté à sa bouche un morceau du déchet non identifiable. Le produit n’avait aucunement dépassé sa date de péremption encore assez lointaine puisque fixée au 17 juillet 2017. Les internautes empathiques sont nombreux à se porter à son chevet numérique (50 000 partages !). Pointée du doigt, « Vita Coco » a voulu s’excuser avec des bons de réduction étant toujours attendus par la victime très combative sur tous les fronts. Simplement, elle ne veut pas qu’un cas similaire se reproduise et désire ardemment que justice soit faite envers ce couac sanitaire jugé inadmissible.
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