Les Etats-Unis ont toujours un pouvoir d’attraction sur le reste du monde mais constituent l’Eldorado de la malbouffe avec 400 000 décès résultant de cette dernière et ce chaque année. C’est ce qui ressort d’une étude des plus alarmantes de l’AHA (American Heart Association) qui vise d’abord l’impact sur les maladies cardiovasculaires. La solution pour stopper cette hémorragie repose sur une alimentation, plus variée, plus légère, et plus saine. Le trio infernal (sodas, hamburgers-frites, glaces) est à esquiver le plus possible. Place aux légumes, aux fruits de saison, aux fruits à coques.
Les Américains sont les champions du monde de la malbouffe qui est responsables de complications de santé diverses allant jusqu’à la mort avec 400 000 décès déplorés chaque année
Les Américains sont en train de confirmer leur réputation d’accrocs à une malbouffe décriée, à juste titre, avec une surconsommation, sur le plan de l’alimentation, de produits trop gras ou trop sucrés : ce régime particulier est fortement soupçonné de causer plus de 400 000 décès, par an, au sein d’un pays-continent, réputé également pour son obésité, fléau morbide au possible. C’est en tout cas ce qui ressort d’une étude de l’American Heart Association (AHA), dont la presse a été informée, jeudi 9 mars : elle s’est empressée de relayer au grand public et aussi aux autorités compétentes, concernant les risques sanitaires, des statistiques, à vous refroidir quasi-immédiatement.
Retenons des données collectées en 2015, année qui est significative, où la malbouffe aurait joué un rôle-clé, favorisant les décès, que nous constatons, de 222 100 hommes et 193 400 femmes. La gente masculine l’emporte légèrement à ce jeu aux très lourdes conséquences.
Des changements alimentaires sains seraient bénéfiques pour endiguer un problème de santé publique profondément ancré dans une société avec une responsabilisation mobilisatrice
Les assises de cette étude reposent sur des études plus anciennes qui font autorité en la matière. Nous pouvons retenir la National Health and Examination Survey, des années 1990, et les chiffres émanant de la FAO (dépendant de l’ONU).
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