Dans le domaine du racisme anti-blanc, le tribunal a décidé de rendre son verdict concernant une affaire où la chanson « Nique la France » fait débat.
Dans ce dossier, deux parties s’opposent : d’une part il y a l’association Agrif qui milite contre le racisme et de l’autre, il y a le rappeur Saïdou et Saïd Bouamama. L’objet de la discorde concerne la chanson « Nique la France » et le concept des Français dits de souche. Le tribunal correctionnel de Paris a décidé de préciser que cela n’existait pas et qu’ils ne peuvent pas être considérés comme un groupe composé de personnes.
Les Français de souche ne représentent pas un groupe
En parallèle, ce n’est pas la première fois qu’une telle phrase est médiatisée, car il y a quelques jours François Hollande précisait qu’un cimetière avait été « dévasté par de jeunes lycées, Français de souche comme on dit ». Rapidement, la notion avait fait débat, car elle a tendance à être employée par les personnes issues des mouvements qui prônent la France aux Français. En ce qui concerne cette chanson dévoilée en 2010, elle pointait du doigt l’histoire de ce pays ainsi que les différents symboles qui avaient jonché son parcours. Une polémique avait d’ailleurs vu le jour à cette époque, car le rappeur précisait que « ça risque d’être indécent, de voir comment je me torche avec leur symbole écœurant ».
Le tribunal rend son verdict pour le racisme anti-blanc
L’Agrif a décidé d’attaquer en justice le rappeur notamment pour des faits de racisme anti-blanc. Le porte-parole de cette association a souhaité révéler que les paroles de cette chanson taclent lourdement les Français. Toutefois, la décision du tribunal ne va pas dans leur sens, car la justice estime qu’il n’est pas possible de considérer les Français de souche comme un groupe qui était donc visé par cette violence, cette haine et cette discrimination.
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