Contre l’obésité, la gélule connectée se dévoile comme le nouveau procédé pour maigrir. Le positionnement est également insolite.
Maigrir
L’obésité est un véritable fléau dans le monde et avec l’approche des beaux jours, certains cherchent par tous les moyens de maigrir. Melacap System qui est une société israélienne estime avoir trouvé le procédé révolutionnaire grâce à une gélule connectée. La méthode d’utilisation est digne d’un film de science-fiction, mais elle s’adapte parfaitement aux nouvelles tendances qui sont rythmées par les Smartphones. Par conséquent, cette gélule dévoilée dans une vidéo qui a une espérance de vie de 3 semaines doit être ingérée d’une manière classique.
Une gélule connectée pour perdre du poids
Par la suite, grâce à un aimant, il est possible de guider cette gélule connectée censée lutter contre l’obésité via un aimant. Ce procédé agit ensuite comme un coupe-faim et il faut être équipé d’un mobile sous iOS ou Android pour passer à l’étape suivante. Dans un régime ou une alimentation équilibrée, les séances de grignotage sont terribles puisqu’elles favorisent la prise de poids. Avec cette gélule connectée, il suffit de l’activer via le Smartphone pour qu’elle agisse comme un coupe-faim traditionnel. Avec ce procédé, il serait ainsi possible d’optimiser la perte de poids et donc de maigrir sur le long terme.
Lutter contre l’obésité et maigrir avec une gélule reliée au mobile
En effet, la gélule connectée possède les compétences nécessaires pour stimuler les nerfs de l’organe et les muscles. De ce fait, le cerveau reçoit un signal mettant en avant la satiété et l’envie de grignoter disparaît. Il faut savoir que l’obésité est un véritable problème notamment aux États-Unis et il ne faut pas négliger les désagréments. Pendant la grossesse, le risque qu’un enfant développe un diabète de type 1 est favorisé si la maman est obèse ou en situation de surpoids. Cette gélule connectée pourrait combler les attentes de certaines personnes, mais aucune étude n’a été réalisée concernant d’éventuels secondaires. La prudence est donc de mise.
