Irina Ionesco n’a pas gagné contre Simon Liberati qui est l’auteur du livre Eva. Ce dernier est au cœur d’une controverse à cause de certains passages qui ne sont pas flatteurs pour sa personne et ils reflètent son passé.

Irina Ionesco / Crédit Photo : Capture YouTube – Personne ne Bouge – ARTE
Irina Ionesco n’a pas accepté que sa vie passée soit partagée avec le grand public de cette manière, surtout que les faits en question relatés dans le livre Eva ne sont pas en sa faveur. En effet, l’écrivain Simon Liberati qui travaille avec les éditions Stock a révélé que sa belle-mère était une consommatrice de drogues. Il fait également l’éloge d’Eva Ionesco qui est donc la fille de la plaignante. L’écrivain la nomme « la petite fée » qui a eu la capacité de le sauver du labyrinthe tout en lui redonnant le goût à la vie.
Simon Liberati fait l’éloge de la fille d’Irina Ionesco
Sa mère qui est une photographe de 85 ans estimait que les passages sur les drogues ou sa vie sexuelle de son passé ne devaient pas être partagés. Simon Liberati était donc transporté devant la justice et il espérait qu’une condamnation ne serait pas à l’ordre du jour, car plusieurs exemplaires sont déjà dans le chemin de la distribution. Il a donc eu gain de cause face à Irina Ionesco qui doit lui verser le montant de 3000 euros.
Irina Ionesco ne gagne pas face à Simon Liberati pour le livre Eva
Pour sa défense, Simon Libérati a mis en avant les mêmes passages de sa vie privée qui avait été relatée par la principale concernée dans un livre autobiographique. De ce fait, la mère d’Eva Ionesco qui est d’origine roumaine avait déjà évoqué ces passages de sa vie et la justice a donc estimé que les faits n’étaient pas nouveaux. Par conséquent, elle a été déboutée et l’atteinte à la vie privée n’a pas été retenue. De son côté, Eva Ionesco qui est une réalisatrice avait elle aussi fait part de son enfance dans My Little Princess où elle évoquait la relation qu’elle avait avec sa mère à travers l’objectif.