Geneviève de Fontenay n’a pas mâché ses mots à l’encontre de François Hollande ou de Charlie Hebdo frappé par un attentat. Elle estime que les réalisations étaient provocatrices et finalement quand on cherche, on trouve.

Geneviève de Fontenay

Geneviève de Fontenay / Crédit Photo : Wikimédia – Georges Seguin

Geneviève de Fontenay est connue pour être la dame au chapeau, mais elle est également réputée pour avoir des prises de position qu’elle ne regrette jamais même si parfois elles peuvent choquer autrui. Elle a également des idées bien arrêtées sur la politique d’aujourd’hui qui a causé le désastre en France. Selon celle qui a mis en place l’élection de Miss France, il y’en a marre de l’ENA et elle voudrait une VIème République.

Geneviève de Fontenay fustige François Hollande qui est une limace

En parallèle, François Hollande a été quelque peu décevant même si elle lui a accordé son vote lors de sa présentation aux élections présidentielles. S’il venait à demander aux Français un second mandat, Geneviève de Fontenay sait déjà qu’elle ne revoterait pas pour lui, car il « est comme une limace ». Selon celle qui est très inquiète pour l’avenir du pays, l’actuel chef de l’État est « complètement à côté de la plaque ». C’est dans un entretien accordé à BFM TV que la dame au chapeau a partagé ses prises de position et elle a aussi évoqué l’attentat qui a frappé Charlie Hebdo en janvier dernier.

Pour Geneviève de Fontenay, Charlie Hebdo n’aurait pas dû provoquer

À cette époque, la France faisait union devant les terroristes qui frappaient une nouvelle fois lors de l’attaque de la police, dans l’épicerie de la porte de Vincennes. Pour Geneviève de Fontenay, Charlie Hebdo avait des menaces de mort récurrentes et il n’aurait pas dû réaliser ces caricatures. Pour la présidente du comité Miss Prestige National « on a cherché, on a provoqué ». Les dessins n’auraient donc pas vu le jour, car ce n’est pas une forme de liberté d’expression notamment lorsqu’ils génèrent des attentats. Dans ce cas de figure, il faut s’abstenir de « faire des provocations ».

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