Pour les régions, les présidents délégués ne font pas l’unanimité et la polémique continue de prendre de l’ampleur au fil des jours. Ces postes pourraient donc voir le jour en même temps que cette fameuse carte.
Le Parti socialiste qui est au pouvoir depuis plusieurs années aura été à l’origine d’une réforme très forte concernant la carte des régions. Cette dernière a chamboulé la disposition de la France et de nouvelles capitales ont ainsi vu le jour créant la grogne de nombreux habitants. En parallèle, le président du PS a eu l’idée de mettre en place un nouveau concept qui concerne les présidents délégués des régions.
Les présidents délégués pour les régions mis en place par Damien Alary
Dans les 13 nouvelles zones qui composent la France, il y aurait ainsi des présidents délégués et cela grâce à l’obtention d’un accord à destination de Damien Alary selon France 3. Toutefois, si les habitants sont surtout agacés de perdre leur patrimoine comme c’est le cas en Auvergne, car Clermont-Ferrand perd son statut de capitale de la région, les autres partis politiques n’ont pas conservé le silence. Du côté de la droite, le projet de loi des présidents délégués fait grincer les dents, car la mesure aurait un coût astronomique de 144 millions d’euros alors que l’objectif de la nouvelle carte des régions était de réaliser des économies.
Une mesure pour la nouvelle carte des régions qui ne plait pas
De ce fait, la fameuse loi Alary qui instaure les présidents délégués ne fait pas l’unanimité dans le monde politique. Certains tentent de mettre en avant les atouts des régions qui seront contraintes de rejoindre les autres. C’est par exemple le cas du côté de Rouen qui sera sous la direction de Caen, Laurent Fabius a donc milité pour qu’une répartition équitable soit mise en place. Dans tous les cas, si Damien Alary obtient gain de cause en décembre prochain pour la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, il bénéficierait ainsi du nouveau poste.
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