À Ouessant, Manuel Valls a tenu à réitérer ses engagements concernant les énergies renouvelables. Il a donc renforcé son attrait pour la Bretagne et un accord a été trouvé mettant en avant 10 millions d’euros.
Manuel Valls a eu un cahier des charges assez complet lors de son déplacement à Ouessant, car il a partagé ses convictions qui ont débouché sur la signature de plusieurs contrats concernant les énergies renouvelables. Ces dernières sont de plus en plus sélectionnées lors de la construction de bâtiment par exemple, car elles réduisent l’impact sur le réchauffement climatique qui menace l’écosystème. Ce dernier a déjà été entaché par la précédente canicule et des êtres comme les bourdons éprouvent quelques difficultés à survivre à cause de ce changement climatique.
Ouessant, le rendez-vous important pour les énergies renouvelables
Manuel Valls a donc deux objectifs qu’il souhaite obtenir en un seul : exploiter l’économie des côtes bretonnes tout en renforçant l’attrait pour les énergies renouvelables. Dans un communiqué publié par le site du gouvernement, nous apprenons que ce contrat a débouché sur un partenariat de 10 millions d’euros pour 2016, 2017 et 2018 ainsi qu’une somme de 4 millions d’euros uniquement pour 2015. L’État a donc fait le choix d’investir en Bretagne avec la signature de deux conventions.
A Ouessant, Manuel Valls partage les objectifs de l’Etat pour la Bretagne
Lors de ce rendez-vous fixé au 10 juillet 2015, Manuel Valls a donné son accord pour le transfert à Plouzané d’Igremer. En parallèle, l’ANR (Agence Nationale de la Recherche) et FEM (France Energies Marines) ont signé un accord qui vise à renforcer la transition énergétique. Enfin, la visite du premier ministre s’est terminée avec une autre signature qui a concerné cette fois l’Etat-région-Association des îles du Ponant. L’objectif consiste à favoriser le logement, l’emploi, la transition énergétique tout en rendant l’exploitation maritime et aérienne optimum. Ce n’est pas la première fois que Manuel Valls développe un attrait pour la Bretagne, l’État avait déjà signé un Pacte d’avenir en 2013.
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