Cette taxe est particulièrement impopulaire, elle figure dans le projet de loi des finances 2016, elle avait été créée par le gouvernement de François Fillon et elle avait été mise en vigueur dès 2012 avant l’arrivée de François Hollande. Il semblerait que les futurs propriétaires ne puissent y échapper, car elle se déclenche automatiquement du fait de la déclaration de travaux en mairie.
Les cabanes de jardin, mais également les garages, les vérandas, les combles qui ne sont pas aménagés et les piscines de plus de 5 m² sont également taxés. Certains propriétaires très en colère par toutes ces mesures se sont organisés et dans le quotidien « le Parisien », ils dénoncent que tout cela est simplement un « impôt excessif », les propriétaires ne comprennent pas comment une simple petite cabane peut être considérée comme une extension de la maison d’habitation.
Les propriétaires de ces charmants cabanons reçoivent aujourd’hui la facture qui peut se révéler être assez lourde pour une si petite surface. Un habitant du département du Gers doit s’acquitter de 894 euros pour une cabane de 19 m², selon France Info.
Le gouvernement se penche sur la taxe des cabanons de jardin
Le projet est actuellement en discussion au parlement, si le gouvernement de Manuel Valls venait à l’adopter dans le projet de loi des finances 2016, les maires des différentes communes pourront choisir d’appliquer cette taxe ou pas aux administrés. Il est tout à fait possible de demander une exonération depuis 2014 sous certaines conditions.
Cette taxe pourrait rapporter à l’Etat une jolie petite somme, plus d’un milliard d’euros par an. La réponse sera effective d’ici quelques jours. La cabane au fond du jardin risque fort de perdre tout son charme bucolique. La loi aurait-elle oublié que ces petites cabanes ne sont là que pour ranger des outils, une tondeuse enfin du matériel ?
Le choix d’un abri de jardin : critères essentiels
Choisir un abri de jardin peut s’avérer une tâche délicate compte tenu de la variété des modèles existants. Il s’agit cependant d’une décision importante qui doit prendre en compte plusieurs critères fondamentaux.
Premièrement, la taille de l’abri est un élément crucial à considérer. Elle doit correspondre à la fois à l’espace disponible dans votre jardin et aux besoins de rangement que vous envisagez. Évaluez donc soigneusement l’espace dont vous disposez et l’utilisation prévue de l’abri.
Ensuite, le matériau de construction est une considération significative. Les abris en bois offrent un aspect esthétiquement plaisant et une isolation naturelle, mais ils nécessitent un entretien régulier. Les abris en métal, quant à eux, sont robustes et durables, mais peuvent être sujets à la corrosion. Les abris en plastique ou résine, de leur côté, sont faciles à entretenir et résistent bien aux intempéries.
La configuration de l’abri, comprenant le type de porte, la présence de fenêtres, et le style de toit, doit également être prise en compte. Ces éléments influencent non seulement l’aspect esthétique, mais aussi la fonctionnalité de l’abri.
Enfin, prenez en compte les contraintes légales : dans certains cas, une déclaration préalable de travaux ou un permis de construire peuvent être requis.
Le choix d’un abri de jardin est une décision multidimensionnelle qui nécessite une analyse approfondie de vos besoins, de vos préférences esthétiques, des contraintes spatiales et légales, ainsi que de la durabilité et de l’entretien requis par les différents matériaux.
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